La radiothérapie constitue, avec la chirurgie et la chimiothérapie, une des principales options efficaces de traitements proposés pour traiter le cancer. Plus de la moitié des patients souffrant d’un cancer bénéficiera à un moment ou à un autre d’un traitement radiothérapeutique.
La radiothérapie est une spécialité médicale qui utilise des rayonnements ionisants pour traiter des patients atteints de cancer. En atteignant la tumeur, les rayons la détruisent alors que les tissus sains avoisinants la tumeur ont la possibilité de réparer les dégâts produits par les rayons. L’objectif du traitement radiothérapeutique peut être soit « curatif » (guérir la maladie) soit «palliatif» (améliorer les symptômes provoqués par la maladie).
De manière beaucoup plus rare, on peut également traiter certaines affections bénignes ou des cicatrices chéloïde avec de la radiothérapie.
La radiothérapie du XXIe siècle n’a clairement plus rien à voir avec la radiothérapie d’antan qui est née en 1900. C’est actuellement un domaine multidisciplinaire dans lequel les exigences en matière de précision et de sécurité sont très élevées. En effet, ces dernières années, le développement majeur de l’imagerie, de l’informatique et des équipements délivrant les rayons ont permis l’apparition de techniques innovantes, plus ciblées, préservant au maximum le corps et entrainant moins d’effets secondaires. Le médecin-radiothérapeute travaille donc en étroite collaboration avec les radio-physiciens, les infirmières, les technologues en radiothérapie ainsi qu’avec les qualiticiens.
On distingue la radiothérapie externe et la radiothérapie interne (Curiethérapie ou brachythérapie), toutes deux disponibles dans le service de radiothérapie du GHdC.
La radiothérapie externe consiste à diriger des rayons produits par une machine, située à proximité du patient. Les rayons traversent donc la peau pour atteindre la tumeur qui sera dès lors détruite. La machine de traitement est appelée «accélérateur linéaire de particules».
Le but est de délivrer très rapidement, sur un patient immobile, une dose de rayonnement la plus élevée possible tout en épargnant les tissus sains environnants.
Le patient irradié ne devient pas radioactif et ne présente donc aucun danger pour son entourage. Les rayons ne font que traverser le patient, y font leurs effets sur les cellules puis ressortent.
La radiothérapie externe peut se faire à base de photons ou d’électrons.
La dose totale prescrite est divisée en séances, de 1 à 35 séances en général, une fois par jour, cinq jours par semaine.
La durée du traitement de radiothérapie externe dépend de la dose totale à délivrer à la tumeur, cette dose est prescrite par le radiothérapeute et peut aller de 1 jour à 7 semaines. Elle dépend de divers facteurs tels que:
Certaines séances peuvent être délivrées exceptionnellement 2 fois par jour. Certains schémas de radiothérapie peuvent ne pas être quotidiens mais 3 fois par semaine et même 1 fois par semaine.
Pour chaque séance, le patient reste entre 10 et 15 minutes immobile sur la table, dans la position qui a été déterminée au moment de la stimulation.
Un scanner de vérification du positionnement est effectué à chaque séance selon un protocole précis. Cet examen permet également de vérifier l’éventuel remplissage ou vidage de certains organes (vessie, rectum,…).
Les photons sont des particules qui ont un important pouvoir de pénétration dans les tissus, variable selon leur énergie. Les irradiations par photons peuvent être effectuées suivant différentes techniques telles que:
Les radiothérapeutes choisissent la technique en fonction de la localisation de la tumeur, de sa profondeur, de sa forme et de sa taille.
Cette technique est utilisée pour des tumeurs de forme régulière, non complexes lorsque les tissus sains sont faciles à préserver. Après avoir défini le volume tumoral à irradier à partir des images de scanner, le radiothérapeute détermine grâce à un logiciel spécifique la forme du faisceau de traitement qui correspondra à la forme de la tumeur à traiter.
Il s’agit d’une technique sophistiquée qui permet de faire varier l’intensité du rayonnement au sein de chaque faisceau de traitement pour le rendre le plus conforme possible à la tumeur tout en préservant au maximum les organes à risque. Cette technique permet réellement de sculpter de façon précise le volume d’irradiation et est donc utilisée pour des tumeurs de forme plus complexe notamment de forme concave qu’il est impossible de traiter avec la radiothérapie 3D.
Il s’agit d’une variante plus sophistiquée de l’IMRT où l’irradiation se fait en continu par 1 ou 2 arcs de cercle autour du patient, la dose de rayonnement est en continuelle optimisation ce qui permet d’atteindre des doses élevées au niveau de la tumeur. Ceci est possible grâce à l’utilisation d’accélérateurs linéaires de dernière génération capable de modifier en continu la vitesse de rotation, la forme du faisceau et son débit de dose.
Il s’agit d’une technique particulière de radiothérapie externe qui permet de délivrer de très hautes doses par fraction afin d’irradier de façon sélective une ou plusieurs cibles de petite taille, en général inférieure ou égale à 5 cm, et ce avec une précision millimétrique. Le traitement s’effectue en un nombre très faible de fractions (de une à 8 fractions).
Elle peut s’utiliser pour traiter des petites tumeurs cérébrales soit bénignes soit malignes. Plusieurs petites tumeurs (jusqu’à 3 – 4) maximum peuvent être ainsi irradiées simultanément. Elle permet de traiter:
On peut aussi utiliser une radiothérapie stéréotaxique pour administrer une dose supplémentaire de radiation après une radiothérapie externe classique ou pour irradier l’endroit opéré par le chirurgien.
Lorsque l’on traite une tumeur cérébrale, la tête doit être dans la même position à chaque séance de traitement et doit être parfaitement immobile. Le patient porte donc un masque spécial autour de la tête lors des séances de radiothérapie.
Les accélérateurs linéaires dont nous disposons dans le service de rad iothérapie du GHdC disposent d’un collimateur avec des lames très fines de 0.5 cm de largeur qui permet la délivrance de ce type de radiothérapie sous forme d’une irradiation en arcthérapie.
Plusieurs petites tumeurs (jusqu’à 3 – 4) maximum peuvent être ainsi irradiées simultanément.
Ce type de radiothérapie concerne le plus souvent les petites tumeurs pulmonaires primitives ou des métastases pulmonaires. Les métastases hépatiques, surrénaliennes ou ganglionnaires peuvent également être traitées avec cette technique.
Dans la majorité des cas, au niveau des poumons et de l’abdomen il faut tenir compte des mouvements respiratoires. Dans ce cas, le patient doit bénéficier d’un scanner de repérage tenant compte de la respiration (scanner 4D).
Les accélérateurs du service de radiothérapie du GHdC disposent d’un logiciel spécial qui permet de visualiser au moment de l’irradiation les mouvements de la tumeur, de les comparer avec le scanner de référence et de vérifier ainsi en ligne si la petite tumeur est toujours bien comprise dans le faisceau d’irradiation des mouvements respiratoires.
Le rayonnement par électrons est également généré par les accélérateurs linéaires et est utilisé pour des lésions superficielles, car il pénètre seulement de quelques centimètres dans le corps. Il peut de ce fait provoquer de légères rougeurs de la peau.
On l’utilise généralement pour des lésions de la peau ou pour diminuer le développement de cicatrices chéloïdes.
Le service de radiothérapie dispose depuis peu de deux accélérateurs de particules de type Synergy, de la marque Elekta. Ces accélérateurs sont équipés de collimateur multilames de type «Agility» et permettent de délivrer des traitements complexes et précis de type stéréotaxie ou VMAT. Ces accélérateurs délivrent des photons ou des électrons de très hautes énergies.
Afin d’assurer une grande précision dans le traitement, ces appareils disposent d’une «imagerie embarquée», c’est-à-dire qu’ils ont la capacité d’effectuer des scanners tridimensionnels avant ou pendant l’irradiation. Cela permet de corriger la position du patient et d’être certain que le faisceau de traitement est bien centré sur la tumeur. La table de traitement peut être déplacée à partir du poste de commande lorsqu’on pratique une correction avant l’irradiation. Ce type de radiothérapie s’appelle radiothérapie guidée par l’image ou Image-Guided Radiation Therapy (IGRT).
L’indication d’un traitement de radiothérapie est posée de manière collégiale en réunion multidisciplinaire d’oncologie. Lors de ces réunions, oncologues, chirurgiens, radiologues, radiothérapeutes, nucléaristes, anatomopathologistes se concertent afin de déterminer les différentes options de traitement qui s’offrent et sélectionnent la meilleure pour le patient. Lorsque l’indication de radiothérapie est posée, l’infirmière coordinatrice en oncologie prendra contact avec notre secrétariat afin d’obtenir un rendez-vous pour un traitement de radiothérapie. Dans le cadre d’une radiothérapie externe, la prise en charge d’un patient suit différentes étapes:
Avant de débuter le traitement radiothérapeutique à proprement parler, le patient sera vu consultation par le radiothérapeute en charge du patient. Durant cette consultation, il fera connaissance avec son radiothérapeute qui est un médecin spécialisé dans les traitements par les rayons. Cette consultation a lieu dans le service de radiothérapie sur le site Saint-Joseph du GHdC. Le médecin expliquera pourquoi les rayons sont nécessaires (l’indication du traitement), quels sont les effets des rayons attendus sur la tumeur (le bénéfice escompté) ainsi que les effets secondaires possibles (les effets indésirables). Il expliquera également certains aspects pratiques du traitement, en l’occurrence:
Le patient peut être accompagné de ses proches durant cette consultation.
Après que le patient ait bien compris les tenants et aboutissants de son traitement et qu’il ait donné son accord pour le traitement, viennent les étapes de la simulation et du scanner. En général, ces deux étapes sont réalisées le jour même, il faut donc prévoir un temps suffisamment long lors de la première consultation (une demi-journée en général).
La simulation consiste en un examen radiologique indolore qui prend une vingtaine de minutes. Le patient est installé généralement en position couchée sur le dos, sur une table comparable aux tables utilisées en radiologie. La zone à irradier doit être libre, il faut donc se déshabiller en partie. L’objectif de la simulation est de déterminer la position optimale d’irradiation et de pouvoir la reproduire quotidiennement. Nous allons donc utiliser des dispositifs spéciaux selon la zone à irradier afin d’être confortablement installé et que la zone à traiter soit bien immobile. Il y aura par exemple un plan incliné avec des repose-bras pour l’irradiation des seins, des coussins spéciaux, des cale-pieds, etc. Une fois bien installé, il est très important que le patient reste immobile.
Pour certaines localisations (par exemple pour les tumeurs de la tête et du cou, poumon), un « masque » sera confectionné. Il est composé d’un plastique qui lorsqu’il est brièvement chauffé au bain-marie prendra la forme du corps du patient. En refroidissant, il conservera cette forme et permettra de rester bien immobile lors des séances de radiothérapie. Cela permet une grande précision de traitement. De plus, ils évitent que les marques ne soient faites à même la peau. Ces masques n’empêchent absolument pas de respirer, car ils sont percés de multiples orifices, notamment en regard de la bouche et du nez. Il est conseillé de ne pas porter la barbe et de se raser en cas de traitement nécessitant un masque.
Le technicien-infirmier en radiothérapie va ensuite dessiner, selon les instructions du médecin, le centre du champ de rayonnement avec une encre spéciale. Ces marques sont parfois appliquées à même la peau et sont indispensables pour repositionner correctement le patient lors des séances de radiothérapie. Dès lors, il faut éviter formellement de les effacer. Néanmoins, le patient peut se laver à la douche ou à l’évier, sans utiliser de savon au niveau des zones de marquage. Il faut éviter de frotter lors de l’essuyage. Les infirmières redessinent une à deux fois par semaine les marques dessinées sur la peau.
Après l’étape de marquage, un « scanner de planification », soit dans le service de radiothérapie soit au service de radiologie de l’hôpital Saint-Joseph sera effectué. Ce scanner permet d’obtenir des coupes transversales du patient. Sur chacune de ces coupes, le radiothérapeute va délimiter précisément la zone à irradier (la tumeur) ainsi que les tissus à éviter afin d’avoir la plus faible toxicité au traitement. Ceci va permettre d’avoir une image en trois dimensions de la tumeur et des organes à risque. Dans certains cas (par exemple les tumeurs cérébrales ou prostatiques) une résonance magnétique nucléaire peut se montrer nécessaire afin d’améliorer la précision de la détermination des différents volumes. Pour ce faire, les deux examens (scanner et résonance magnétique nucléaire) vont être superposés.
Ensuite, le radio-physicien va planifier le traitement à proprement parler et va calculer le plus précisément possible la manière avec laquelle la dose de rayon va se déposer dans le patient. Étant donné que les calculs sont faits sur votre propre scanner en position de traitement, on peut dire qu’il s’agit d’un traitement complètement personnalisé.
Lors de chaque séance de radiothérapie, le patient est soigneusement positionné sur la table de traitement de la même manière que lors de la séance de simulation. Avant que le traitement à proprement parler ne débute, un scanner est effectué afin de s’assurer du parfait positionnement du patient et une légère modification de la position de la table est appliquée afin de corriger l’éventuel décalage avec le scanner de planification.
Les séances de radiothérapie sont totalement indolores et durent en général 10 à 15 minutes. Les patients sont surveillés en permanence durant le traitement par une caméra et des microphones disposés dans la salle de traitement. En cas de souci, le traitement peut être interrompu.
Dans certains cas, il sera demandé au patient de suivre des instructions particulières afin de s’assurer que certains organes soient exactement dans la même situation que lors du scanner de simulation. C’est le cas des cancers de la prostate où il est par exemple fortement conseillé d’avoir la vessie remplie et le rectum vide. Les infirmiers et le médecin responsable vont aideront à atteindre cet objectif à l’aide de conseils personnalisés.
Régulièrement, le médecin responsable (ou son remplaçant) verra le patient en consultation de suivi. Cela permet de s’assurer que la tolérance au traitement est acceptable, d’évaluer les effets indésirables induits par le traitement et, le cas échéant, de prescrire un éventuel traitement pouvant améliorer ces symptômes. Pour certaines localisations, une visite chez un médecin spécialiste en nutrition ainsi que chez une diététicienne permettra de s’assurer que le poids du patient reste acceptable.
Les membres du service forment une équipe qui est constituée de différents métiers.
Le radiothérapeute est un médecin spécialisé en radiothérapie-oncologie. Il s’agit d’une spécialisation reconnue nécessitant 5 ans d’étude supplémentaire après le diplôme médical de base. Le radiothérapeute est responsable de la prescription du traitement de rayons, de la prescription de la dose, du calcul du plan de traitement conjointement avec le physicien et il surveille également le patient pendant et après le traitement de rayons.
Le physicien médical possède un master en sciences avec une spécialité en physique médicalisée, il est responsable de la bonne calibration de la dose à la sortie de la machine, du contrôle de qualité des accélérateurs, du calcul de la distribution de la dose (dosimétrie) conjointement avec le médecin. Le physicien médical s’occupe également de toutes les techniques innovantes en radiothérapie, en particulier au moment de leur mise en route, et de la validation de toutes les étapes, il joue un rôle primordial dans la radiothérapie moderne qui est techniquement très poussée.
Les infirmiers et technologues en imagerie médicale sont les membres du personnel que vous rencontrerez le plus souvent au cours de votre traitement, certains d’entre eux sont préposés au simulateur ou au scanner, d’autres aux postes de traitement. De deux à quatre infirmières et/ou technologues sont présents. Ils ont pour mission de délivrer le traitement en suivant scrupuleusement les instructions du médecin et du physicien. D’autre part, ils sont attentifs aux effets indésirables et aux plaintes du patient. Quand cela est possible, ils donnent des conseils pour améliorer la tolérance au traitement, sinon, ils informent le médecin de l’état du malade.
L’équipe administrative est composée de 3 secrétaires. Elles sont au service du patient pour l’accueillir dans le service, encoder les données administratives lors de la première consultation. Elles mettent à disposition, moyennement caution, un peignoir pendant toute la durée du traitement de radiothérapie. Elles fournissent également une carte de parking qui permettra de stationner gratuitement durant tout le traitement.
Enfin, il est tout à fait possible, si le médecin le souhaite ou le patient le désire de rencontrer une psychologue ou l’infirmière coordinatrice de soins en oncologie qui continuera également à s’occuper du patient durant le traitement de radiothérapie.
Cette technique consiste à mettre directement en contact des sources radioactives avec la tumeur. Cette technique permet de délivrer une dose très élevée directement au contact de la tumeur, tout en limitant l’irradiation des tissus sains. Le principal avantage de la curiethérapie est donc sa faible toxicité pour les organes proches de la tumeur. Elle a également pour caractéristique aussi de traiter des volumes plus petits que ceux traités par la radiothérapie externe. Elle peut être utilisée seule (curiethérapie exclusive) ou à la suite d’un traitement de radiothérapie externe.
Dans notre service, nous effectuons principalement des curiethérapies gynécologiques dites endocavitaires qui consistent à placer des sources radioactives (de l’iridium 192) dans des cavités naturelles (vagin, utérus).
Pour ce faire, la patiente est admise hospitalisée en hospitalisation de jour. Au cours d’une courte anesthésie, soit générale, soit le plus souvent rachidienne, des cathéters sont positionnés au niveau du site tumoral. Cette intervention a lieu au bloc opératoire. Ces cathéters sont vides et ne sont donc pas encore radioactifs.
Par la suite, la patiente est amenée dans le service de radiothérapie où un scanner ou des radios seront effectués (quelquefois, il faut effectuer une IRM dans le service de radiologie). Grâce à ces examens, le radio-physicien peut calculer la dose à la cible et aux organes à risque.
Lorsque tous les calculs sont terminés, la patiente est amenée dans une salle de traitement et une source de rayonnement (Iridium 192) est insérée dans les cathéters pour une durée de plus ou moins 10 à 20 minutes par séance. À tout moment, la patiente reste sous la surveillance du personnel médical, via une caméra et un microphone.
L’ensemble de cette intervention peut être répété 3 à 4 fois à raison d’une séance hebdomadaire
Les modalités pratiques, les effets secondaires éventuels, les rendez-vous sont expliqués à la patiente au cours d’une consultation dans le service de radiothérapie.
071/10 72 80 – 071/10 72 82 Accueil
071/10 72 81 Infirmière chef
071/10 72 75 Accélérateur Hermes
071/10 52 85 Accélérateur Helios
Si vous souhaitez contacter un médecin, adressez-vous à l’acceuil.
Les rendez-vous sont le plus souvent demandés par l’infirmière coordinatrice de soins en oncologie responsable puisque cela nécessite un accord préalable entre les chirurgiens, oncologues, radiologues et radiothérapeutes. Néanmoins certains médecins spécialistes ou généralistes, adressent parfois directement le patient en radiothérapie pour des irradiations antalgiques par exemple ou pour une demande d’avis. Certains patients qui souhaitent avoir un avis ou revenir en consultation ont la possibilité de prendre eux-mêmes leur rendez-vous.
En général, sauf urgence, toutes les consultations sont sur rendez-vous.
Service de Radiothérapie
Grand Hôpital de Charleroi (site Saint Joseph)
Rue Marguerite Depasse 6
6060 Gilly
Tous les radiothérapeutes s’occupent des tumeurs mammaires et sont susceptibles de se remplacer durant les congés.